Libellula
Libellule déprimée - (L., 1758)
Libellula depressa
Anisoptère le plus commun, sur tous types de milieux stagnants, également en altitude où ses effectifs sont cependant plus faibles. Cette espèce colonise rapidement un nouveau biotope, même artificiel ou pauvre en végétation : mare d’un jardin, bassin d’orage, flaque d’un chemin inondé, ... Facilement observable car elle se repose périodiquement toujours sur les mêmes perchoirs.
Confusions possibles : avec à L. fulva, beaucoup plus rare, dont le thorax est poilu et dont les tâches à la base des ailes sont beaucoup moins étendues.
Phénologie : de début avril à fin septembre ; pic mi-juin.
Répartition altitudinale : 223 sites de 260 m (bec de Dore) et à 1430 m (montagne de la Plate, obs. T Leroy) ; pic entre 300 m et 400 m.
Cartographie dans le département du Puy-de-Dôme
Cercles : données A.-J. Francez.
Ronds noirs : données F. Bronnec.
Ronds gris : autres données, Brugière (1986), Leroy (2001, 2005), SLO (2001), groupe Sympetrum (C. Deliry) et J.-P. Barbarin, E. Boitier, J. Frat, B. Gilard, R. Legrand, G. Thompson, M. Verges (comm. pers., 2006).
Chaque rectangle correspond à une demi-carte au 1/25000 (IGN série bleue).
Article de
, mardi 8 mars 2016